Saint-Paul de Vence secret...

Au fil du coeur,
Au fil de la mémoire
Au fil des arts

Au fil des saisons...

Corinne Paolini

raconte  Saint-Paul de Vence, son village natal.

Entre le livre et le carnet à dessin,
Un nouveau concept d'édition personnalisée

au croisement de l'histoire, la poésie, l'art et la tradition culinaire

"Carnet d'Inspiration à Saint-Paul de Vence"

Parution le 7 mai 2009 

Prix public TTC: 35 €
 
Format 23 x 23 cms, 102 pages, 
présenté en coffret naturel de papier mûrier


Vendus en librairies, galeries et à l'Office de tourisme de
Saint-Paul de Vence

Vente en ligne également à partir du 7 mai sur :  www.encredor.net


Double version, français, anglais
Incluant 14 recettes de cuisine Saint-Pauloise

Mars 2009/ Naissance d'Encre d'Or Editions

Aprés treize ans de presse écrite, sept ans d'implication culturelle à Saint-Paul de Vence au travers d'un café littéraire et deux ans de communication appliquée à l'hôtellerie haut de gamme,  Corinne Paolini embrasse enfin son rêve de toujours en créant sa propre maison d'édition.

Premier d'une collection appliquée aux villages culturels de Méditerrannée, son premier "Carnet d'inspiration à Saint-Paul de Vence" est tiré à 2000 exemplaires

"

La plupart des touristes abordent Saint-Paul par la périphérie, moi je peux l’aborder par le cœur. Lui rendre ce qu’il m’a donné, un sang de naissance et un sang d’encre bienheureux pour lier toutes les sauces de la vie. Je viens de ce village de Provence porté par le miracle de la rencontre. Je viens de cette palette vivante où le temps, suspendu aux persiennes, promène son silence de chat, ses couleurs et ses raies de lumière, quelle que soit la rumeur du monde. Oui, le monde tourne bien autour de « Saint-Paul de Vence », comme un incessant manège ou un merveilleux théâtre cousu d’or. Mais à l’envers du fantasme et de la carte postale, un « autre » Saint-Paul perdure : éternel, minéral, intouchable. Simultanément  façonné par des enfants de la terre, des voyageurs éclairés, des maîtres d’art et des    passeurs d’imaginaire, j’entends chaque jour battre son cœur aux tempes des vieux remparts. Comme une respiration salutaire, trois petites notes de musique…  qui ne plieront jamais boutique. "